qui veut écrire une pièce de théatre à plusieurs mains ?

Constitution fondamentale :
"Les auteurs devront être en permanence cooptés à l'unanimité des contributeurs : consensus permanent de qualité obligatoire.."
Le reste selon le partage des talents.
Qui est tenté ?

Pourquoi pas ? Essayons. 1+1=2 ...( sorry; erreur sur+ et =/touche majuscule oubliée et non relecture).
Je ne prétends toutefois pas être votre égal(e) ...

Je n' attendais pas moins d'audace de votre ombragé personnage verdoyant..
mais expliquez moi ces chiffres égalisés ..vous qui de personne n'ètes l'égale..
Peut-être faudrait-il distribuer un rôle à chaque contributeur :une fausse improvisation par écrit, sans tréteaux ni public,dans l'air vicié des électrons captifs..comme ,en plus futuriste,un trompe- l'oeil en carton sous la lentille d'une lanterne magique.
Une pièce à plusieurs personnages-auteurs serait plus divertissante.
Attendons encore d'autres téméraires spadassins plumitifs..
Oh là! qui va là? ..j'entends le tapage de beaux esprits.. approchez je vous prie..ne soyez pas timides !

Pour écrire, il faut avoir quelque chose à dire ... qui n'aurait pas été dit si possible sinon, ce n'est pas d'un grand intérêt ... Alors là... Voilà que cela se complique sérieusement. Le dramaturge sait dès le début de la pièce qu'il va écrire ce qu'il veut dire; sinon, il s'amuse et laisse venir comme cela se présente et corrige. Je pense de toutes façons qu'un projet sérieux se construit en solitaire (c'est déjà compliqué avec tous nos mois, alors, à plusieurs ...) avec sa conscience et sa petite tête. Ou alors, un chef de chantier distribue des rôles et on s'amuse ... Un "chef" qui aurait le droit d'effacer, d'organiser ce que les autres auraient écrit, etc. Sinon, on partira dans tous les sens sans unité, bien sûr. Pourquoi pas vous, Coreven? Vous avez un enthousiasme délirant dès que vous prononcez le mot "création"... Preuve: un retour en arrière sur le forum ...
Mais surtout, pas du Homais! pas du pharmacien ou je décampe!

Homais ? pharmacien? bigre ,quel étrange langage que voilà ! mes gens de lettres,accourez céant , pour expliquer à votre Maitre la teneur de ce discours -là !
Je vous ferais ravaler ,maraude, ce "délirant"-là pour vous faire recpecter en ses lieux l'auteur de cette ambitieuse et légère ru-brique.
Plutôt que d'effacer sauvagement la prose d'autrui ,ce que , vous concernant, j'aurais un plaisir particulier à faire ,mieux vaut proposer des corrections au préalable à l'auteur des imperfections stylistiques, my fair.
Profiter d' avis riches et variés pour perfectionner l'objet..
En tout cas ,il est indispensable de s'amuser ! oui ,toujours!!!

_"Maraude"!... Alors là, vraiment, vous m'insultez, Gilles!! ((N'est-ce pas un beau prénom pour un personnage de théâtre, Gilles? Sous les auspices de Gilles de Rais, La Barbe Bleue ... Ce "Gilles de Montmorency-Laval, baron de Rais, comte de Brienne, dit Gilles de Rais (ou Gilles de Retz, ou Gilles de Rays), surnommé Barbe-Bleue (né en septembre ou octobre 1404 au château de Machecoul - décédé le 26 octobre 1440 à Nantes), maréchal de France, compagnon de Jeanne d'Arc etc.
Apparenté à la famille de Laval et de Montmorency, il fut exécuté par pendaison pour sodomie, meurtres et sorcellerie"...))
Connaissez-vous bien le sens du mot "maraude"?! Puisqu'il en est ainsi, je vais moi que voici vous surprendre, vous suspendre dans vos suspenses à l'image, vous prendre au mot: regardez mon larcin, admirez! Que dites-vous de ma ré-création?
XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX CENSURE...

Oui! Amusons-nous doucement entre amis, sans méchanceté jamais...

Didascalie: elle rit aux éclats sans vergogne AH! HA! ... Drôles d'électrons libres!

Voyez! Vous ne pouvez impunément, même au théâtre, utiliser les mots en jouant ainsi... Chaque mot lancé est une prise de risque; toute couleur dispersée peut se perdre, vous échapper. En voici la preuve!

(PS:Homais est le pharmacien du roman de Flaubert: Madame Bovary ...)

J'avais pourtant trouvé un sujet ultra sensible, Coreven! Dommage ... La création qui échappe à son créateur et vient le narguer à l'improviste; de même que la machine qui rattrape l'homme dans sa naïve foi au progrès, etc. Ceci après le déclencheur "maraude"; cela collait bien. Et la femme que j'ai ôtée pour vous satisfaire était dans les pattes du net, coincée, etc. Barbe-Bleue, le tendre assassin... On aurait bien ri ...
Alors, trouvez un autre sujet ...
PS: j'ai laissé le petit; on ne voit pas bien ... si vous insistez, je l'ôte aussi ...