La horde fin

Pendant ce temps, Sarkophage se transforme en petit Nicolas pour assurer qu’il aurait changé, perdu son arrogance. Ceux qui le défendent louent son pragmatisme, mais oublient que cette qualité consiste simplement à s’adapter à la réalité, à la suivre donc, à la subir, et non à l’anticiper, et à la façonner pour le bien de la horde.
Les guerres suivent leur cours et façonnent ceux de la bourse.
La crise sévit, censée assainir une économie que le béralisme galopant condamne inévitablement et périodiquement à la crise.
Les Zuniens ont un nouveau président, un métis noir ! C’est une vraie nouveauté, un vrai changement.
Le Petit Nicolas avait parlé de « politique de civilisation », de calcul de la richesse de la horde pas seulement en termes d’argent, mais d’indices de bonheur ? Mais qui sait ce qu’est le bonheur ? Est-il affaire de politique ? S’il s’agit du bonheur personnel des personnages politiques, oui. Sinon…
Restons-en aux choses sérieuses, chiffrables, et gérons la crise pendant qu’elle nous digère.
Une autre élection présihordienne bientôt ? avec les mêmes discours, les mêmes chiffres, les mêmes promesses, les mêmes déceptions. Ce ressassement permanent devrait donner aux hordiens un avant-goût de l’éternité, toujours la même, toujours recommencée.
Demeurons prudents en matière d’appréhension de l’éternité : Nicolas président vient de « faire un malaise » en joggant ; il aurait perdu connaissance ; d’où l’intérêt d’en avoir beaucoup, de connaissances, ce qui permet d’en perdre parfois une sans issue fatale.
L’époque actuelle a substitué les connaissances à la connaissance.
Pour conclure, une proposition qui apporterait paix et harmonie au sein de notre horde : le syncrétisme.
La karchëritude constituerait en effet une parfaite fusion de la gauche ségolénesque avec la droite sarkozigomatique ; une nouvelle histoire d’eau, en quelque sorte.
La politique ainsi conçue aurait au moins le mérite de l’érotisme, qui est au sexe ce que la politique est elle-même à l’économie, une savante mise en scène. Cette approche aurait l’avantage de faire saliver le peuple et de le préserver d’une nouvelle stratégie qui se profile, celle de Jeannot Lapin.
Eh oui, Jeannot Lapin a essayé de nous la faire à l’épate (« Aux âmes bien nées…), mais le peuple était sur ses défenses et le coup a foiré. Jeannot, fils de Sarko, a lancé la stratégie de la politique furtive, plus rapide que son ombre, indétectable : « Je suis là sans que vous m’ayez vu venir ».
Un peu téléphoné cependant , non ?- comme on dirait à Horde Telecom- quand on est le fils de son père.
Horde donc, invente la politique érotique afin d’échapper à celle du suppositoire !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

mdr!

mdr ?

=morte de rire
Certains termes vous permettant des transpositions à la manière voltairienne dans ses contes sont hilarants.
Ce n'est toutefois pas toujours facile de comprendre; il faut s'y reprendre à plusieurs fois.
On rentre alors dans une vision sociale et politique peu optimiste. Le rire est noir, en définitive.
Vous écrivez fort bien!

Entièrement d'accord! Mais n'étant pas français, je ne pige pas à chaque occasion le coup de pied au cul destiné à plus d'une personne couverte de dignité.

mdc: mort de confusion.

adorable réponse.

Ce n'est pas terminé, j'espère, Paul ?
Vous avez emprunté le terme "horde" à Mad Max (Mel Gibson)?

Il me semblait avoir répondu à Nicole, mais ...L'idée m'est venue en lisant "Pourquoi j'ai mangé mon père" ce fameux livre qui dévoile toute la duplicité féminine en matière de séduction.

duplicité féminine ??? ce sont des mots qui ne vont pas ensemble, voyons...
c comme : inconstance féminine, moi j'ai plutôt connu : inconstance masculine...

Chère Laure, il s'agit vraisemblablement d'un problème de parallaxe.

par contre il arrive que des mots aillent bien ensemble, je concède que c très rare ds ce cas, mais ca existe néanmoins ...
"muflerie masculine"...

(faut bien que je me venge de votre "duplicité féminine", non ?...)

Je ne faisais que me référer au roman "Pourquoi j'ai mangé mon père".

je suis à 100% OK avec Laure
la duplicité masculine atteint parfois des sommets
et vous dites que c'est nous !!!

coucou Evelyne, contente de ton retour et merci de cette solidarité féminine.
Mais au fait que fais-tu ds la neige avec Nabla, hein ???

Nabla voulais juste répondre qu'il vaut mieux parler de "complicité féminine".

Evelyne, à Paul, on va lui faire manger son chapeau, il a déjà mangé son père, alors... il en sera quitte pr une bonne indigestion...

Avec Nabla dans la neige ?
Comme dit Nicole nous batifolons!!

Nabla ne va plus savoir que nous répondre!!!!

Salut Nabla
comment vas-tu ?

J'en ai l'habitude, depuis ma naissance je suis victime des ministres des finances et de tous ces ministères qui ont été créés depuis, mais je peux affirmer que jamais, au grand jamais, je n'ai été victilme d'une dame.
Donc, mesdames, changez de propos à mon encontre!

Laure as-tu vu la réponse de Nabla ?
un modèle du genre !!!!

Evelyne, je suis un peu perplexe comme toi, je n'ai pas compris sa réponse.

Pitié, mes gentes dames, vous vous trompez de sujet! Paul, c'est l'ignoble ogre qui ridiculise les honorables, désignés unanimement au vote universel pour améliorer notre situation.
Je n'y peux rien que, par hasard (tiens, pourquoi prend-il un d) on m'a gratifié du même prénom.

La duplicité étant par définition ce qui est double, vous en êtes, mesdames, la parfaite illustration, à vous acharner en duo sur une simple et innocente référence littéraire.

Merci Paul, de me tirer hors de ces chardons. Seulement, j'ai commis la bêtise de te charger du fardeau!
En cas de nécessité: 0032-3296.93.22

Paul, primo, on ne s'acharne pas, on s'explique.
deuzio, Nabla se sentait "victime" (un mot assez fort) et se plaignait de nos "Propos". Ns n'avions pas compris pourquoi. Moi, qd je ne comprends pas, je dem. une explication.